Les idées reçues sur la pompe à chaleur air-eau
Vous avez des interrogations concernant les pompes à chaleur air-eau ? Revenons sur 6 idées reçues.
Les panneaux solaires photovoltaïques sont sujette à de nombreuses idées reçues. C’est le moment de revenir sur les principales idées reçues concernant cette solution à énergie renouvelable.
FAUX.
Il y a plus de 40 ans, cette affirmation était vraie… Mais, elle ne l’est plus aujourd’hui.
Cette évolution se justifie par les avancées scientifiques et les progrès technologiques. Mais alors maintenant, quelle est la durée de vie d’un panneau solaire photovoltaïque ? La plupart des constructeurs garantissent dorénavant une production optimale de 25 ans.
Cependant, cela ne signifie pas que les panneaux solaires ne fonctionnent plus après cette date pour produire de l’électricité. En général, les fabricants indiquent qu’ils continueront encore de fonctionner à 80% de leur puissance initiale pendant plusieurs années au-delà de cette échéance. De quoi continuer à rentabiliser cet investissement en tirant profit d’une électricité gratuite (hors maintenance) une fois le coût de l’installation amortie.
A noter : Pour assurer une longue vie à vos panneaux photovoltaïques, tous les 10 ans, il est essentiel de changer l’onduleur photovoltaïque par un professionnel qualifié RGE QualiPV. Cette maintenance vous permet de vous assurer que votre appareil fonctionne dans des conditions optimales.
FAUX.
La certification internationale IEC 161215 (Commission Electrotechnique Internationale) est obligatoire pour la mise sur le marché des panneaux solaires. Elle est garante de qualité en matière de stabilité mécanique et de respect des paramètres électriques. Elle impose des tests de résistance, dont celle à la grêle et à la neige.
Par ailleurs, les panneaux photovoltaïques n’attirent pas la foudre. L’onduleur peut cependant être endommagé à cause de surtensions remontant par le réseau (lorsque la foudre tombe à proximité, par exemple) ou lorsque l’installation n’est pas réalisée selon les règles de l’art. La réglementation impose la mise en place de parafoudre dans les coffrets de protection mis en place lors de l’installation.
FAUX.
Par définition, le photovoltaïque convertit la lumière pour produire de l’électricité, contrairement au solaire thermique qui capte la chaleur des rayons du Soleil. En effet, c’est la luminosité solaire et les photons qui créent l’effet photovoltaïque.
La température a cependant une influence sur la production car l’efficacité des panneaux photovoltaïques a tendance à réduire lorsque ces derniers montent en température. Il est donc primordial d’assurer une bonne ventilation des capteurs afin d’optimiser la production d’électricité et de réduire les risques liés à une surchauffe des composants. Les installateurs QualiPV sont formés pour installer des panneaux solaires photovoltaïques dans le respect des règles de l’art.
Afin que les panneaux solaires fonctionnent bien, il faut bien sûr un taux d’ensoleillement minimum. Mais pour cela, pas besoin d’être au sud, certaines régions du nord et de l’est se prêtent particulièrement bien à ces installations.
Par temps de pluie, les nuages empêchent le rayonnement direct et il ne reste alors que le rayonnement diffus. Dans ce cas, ce n’est pas toujours suffisant pour que l’installation photovoltaïque se mette en route.
Parmi tous les pays européens, c’est en Allemagne que l’on compte le plus d’installations photovoltaïques chez les particuliers ? Et pourtant, question ensoleillement, l’Allemagne n’est pas la destination à laquelle on penserait en premier !
FAUX.
Au début des années 2000, le boom du photovoltaïque a en effet été l’objet de nombreuses arnaques d’entreprises peu scrupuleuses : les éco-délinquants. Aujourd’hui, en recourant à un installateur de panneaux solaires qualifié RGE, vous vous assurez que l’entreprise est inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés ou au Répertoire des Métiers et qu’elle a les capacités professionnelles, techniques et financières pour la conception et la réalisation des travaux.
FAUX.
Les panneaux solaires sont composés principalement en grande partie de silicium. Ces derniers nécessitent d’être passés dans des fours à haute température pour être préparés, ce qui consomme beaucoup d’électricité.
Néanmoins, les avancées technologiques de ces dernières années favorisent la baisse du besoin énergétique nécessaire à la fabrication de ces panneaux photovoltaïques. En moyenne, il faut entre 1 et 3 ans pour amortir l’énergie dépensée à la fabrication d’un panneau solaire.
De plus, certaines industries les produisant sont elles-mêmes alimentées par des énergies renouvelables comme les panneaux solaires.
FAUX.
De nos jours, les panneaux solaires photovoltaïques sont recyclés à environ 90%. Ils sont essentiellement composés de silicium et de verre, deux matériaux auxquels il est facile de donner une seconde vie ! Les matériaux comme l’aluminium (pour le cadre), le cuivre (pour les câbles) ou encore de l’argent (pour les soudures), sont également recyclables et réutilisés.
Après la séparation mécanique des câbles, boîtes de jonction et cadres métalliques, les cellules subissent un traitement chimique qui permet d’extirper les contacts métalliques et la couche anti-reflet.
Par arrêté gouvernemental en date du 24 décembre 2014, l’éco-organisme PV Cycle France, agréé par les pouvoirs publics, se charge d’assurer gratuitement le recyclage et la collecte de vos panneaux photovoltaïques en fin de vie, dans le cadre de la réglementation DEEE sur les déchets électroniques.
Lorsque vos panneaux solaires produisent de l’électricité et que vous ne l’utilisez pas, elle est alors injectée dans le réseau électrique. Toutefois, il est possible de seulement consommer l’électricité que vous produisez sans la revendre. On appelle ça : l’autoconsommation.
Cependant, l’autoconsommation totale sans système de stockage est assez complexe car les besoins doivent être systématiquement inférieurs à la production d’électricité. Face à cette situation, il est souhaitable de dimensionner l’installation de manière optimale. Le surplus éventuel d’électricité sera alors injecté sur le réseau, avec la possibilité d’en retirer un complément de rémunération, si l’installation n’est pas reliée à un dispositif de stockage. Si vous désirez un degré élevé d’autoconsommation, il vous faudra investir dans un système de batteries afin de stocker votre énergie en surplus pour l’utiliser lorsque la production est faible ou inexistante (du soir au matin).
FAUX.
Les tarifs d’achat du kWh sont fixés à la signature du contrat entre le producteur d’électricité (donc vous) et l’acheteur (EDF Obligation d’Achat). Ces tarifs restent valables pendant 20 ans, soit l’intégralité de la durée de l’accord.
Cependant, les prix sont indexés sur le coût du travail et l’indice des coûts de production, il peut donc y avoir de légères variations pendant la durée de votre contrat.
FAUX.
Le prix des modules photovoltaïques a été divisé par 3 depuis 10 ans maintenant grâce à l’industrialisation du secteur.
Certes, le prix des installations photovoltaïques s’élève à plusieurs milliers d’euros. Cependant, il peut être amorti grâce aux aides proposées par l’Etat. Des aides publiques sont en effet proposées aux particuliers, vous pourrez trouver les aides de l’Anah, l’agence nationale de l’habitat.
La prime à l’autoconsommation vous est également proposée. Pour obtenir plus d’informations sur ces aides, n’hésitez pas à vous rendre dans notre section « Financer son projet de travaux ». En effet, lorsque vous installez des panneaux solaires, l’électricité générée vous permet de la consommer ou de la vendre au réseau. L’Etat a mis en place cette prime pour inciter les particuliers à l’autoconsommation. Le montant de la prime est défini selon la puissance des installations.
Entourez-vous de professionnels certifiés RGE compétents pour réaliser votre projet. Contactez dès maintenant un installateur !